Accédez au trône d'un empire dominant la Méditerranée et défendez vos frontières contre d'innombrables invasions barbares. Les unités romaines dédiées sont le légionnaire, une unité d'infanterie robuste, et le centurion, une unité de cavalerie lourde augmentant la puissance des milices à proximité.
Les Romains sont apparus pour la première fois comme civilisation jouable dans Age of Empires: The Rise of Rome. La continuité orientale de leur empire et de leur culture est également représentée dans Age of Empires II avec les Byzantins.
Réduction de la portée minimale des scorpions (réduit à 1).
Aperçu[]
Les Romains sont classés comme une civilisation d'infanterie et possèdent en outre des scorpions très puissants, ainsi qu'une marine et une cavalerie lourde efficaces. Leur infanterie reçoit le double de l'effet des améliorations d'armure de la forge, ce qui compensé l'absence de Cotte de mailles plaquée. Au lieu d'avoir accès aux améliorations de fantassin à épée à deux mains et du Champion, les Romains ont accès à une dernière amélioration unique pour le fantassin à épée longue, le légionnaire, qui peut être considérée comme une version plus robuste du Champion et dont la mise à niveau complète est beaucoup moins coûteuse. Leur cavalerie dispose de toutes les améliorations dont elle a besoin pour sa cavalerie légère et son cavalier, avec accès à son unité unique, le Centurion, qui améliore l'efficacité au combat des unités de type milicien à proximité.
Tout comme les Romains dans Age of Empires: The Rise of Rome, ils disposent d'armes de siège très puissantes, à qui ils ne manquent que l'onagre de siège et le canon à bombarde. En particulier, leurs scorpions lourds sont plus économe en or et bénéficient de la Balistique, et peuvent tirer plus rapidement avec leur technologie unique, Balistes, ce qui contribue grandement à compenser leurs désastreux archers. En ce qui concerne leur marine, ils disposent de presque toutes les améliorations dont ils ont besoin, et leurs galères disposent non seulement d'une attaque supplémentaire avec Balistes, mais sont également plus résistante que celle de la plupart des autres civilisations. Leurs moines sont moyens, car même s'ils ont Rédemption, la manque de Sainteté signifie qu'ils sont sensibles aux attaques ennemies. Leur économie est solide, car leurs villageois travaillent 5 % plus vite, même s'ils ne disposent pas de Puits de forage de pierre et de la Scie à deux bras.
Tout comme dans le premier opus, les Romains possèdent de mauvaises unités d'archers. De la même façon, et malgré de solides galères, l'absence de Navire de démolition et de Cale sèche rend leur flotte très vulnérable. Leur point fort reste l'infanterie, mais l'absence de Ravitaillement fait que le joueur se concentrera sur des unités de qualité, plutôt qu'en quantité. Leur cavalerie est également loin d'être parfaite, notamment par l'absence du Hussard et du Paladin à l'âge impérial, ce qui est en partie compensé par le Centurion. Leur défense est très inégale, avec des améliorations comme le donjon et des murs fortifiés, mais l'absence de Projectiles en feu, d'Archières et de tours de bombardes.
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Noms des joueurs IA[]
Théodose Ier
Arbogast
Stilicho
Honorius
Galla Placidia
Valentinien III
Flavius Aetius
Pape Léon Ier
Avitus
Ricimer
Majorien
Anthémius
Romulus Augustule
Odoacre
Histoire[]
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À la mort de l'empereur Théodose Ier en 395 de notre ère, l'Empire romain fut divisé en deux pour la dernière fois. À cette époque, Rome et l'Europe dans son ensemble furent confrontées à des problèmes et à des changements incalculables. Des décennies d'instabilité interne et de guerre civile avaient vidé l'Empire de sa substance, tandis que les migrations hunniques en provenance de l'est déclenchèrent une réaction en chaîne qui provoqua l'arrivée massive de migrants germaniques et alaniques vers les frontières romaines du Rhin et du Danube.
En 395, bien qu'habituée à des siècles de suprématie militaire, Rome était mal préparée pour faire face à ces menaces. Les fortifications frontalières, autrefois redoutables, étaient délabrées, les légions, autrefois nombreuses, étaient sous-payées et manquaient de personnel, et les terres impériales, autrefois prospères, étaient ravagées et avaient grand besoin d'être réformées. L'armée romaine fut contrainte de modifier sa stratégie de défense : alors qu'elle était auparavant capable de tout défendre en permanence, sa nouvelle stratégie consistait à tenir les frontières avec une force symbolique tout en s'appuyant sur une réserve mobile d'élite pour répondre rapidement à toute menace contournant la frontière.
Pour aggraver le problème, de nombreux voisins septentrionaux de Rome franchirent la frontière et s'établirent sur le territoire romain au début des années 400, que ce soit sous la forme d'attaques hostiles ou de fédérés alliés - des mercenaires que l'Empire fournissait avec des terres et de l'argent en échange d'un service militaire. Ces fédérés, bien qu'utiles en cas de coup dur, posaient un problème sur le long terme. Souvent peu enclins à s'assimiler à la culture et au droit romains, ils constituaient des entités fonctionnellement indépendantes, dont les allégeances changeaient au gré des caprices, et pesaient lourdement sur les finances de Rome. Certains fédérés mécontents devenaient des voyous ; les Wisigoths, par exemple, allèrent jusqu'à mettre Rome à sac en 410 et s'emparer d'une grande partie de la Gaule (la France d'aujourd'hui).
Au Ve siècle, Rome se trouva confrontée à une nouvelle menace : l'empire hunnique - une vaste confédération de peuples germaniques, alaniques et hunniques - s'établit en Pannonie et en Germanie et mena des attaques régulières sur les frontières romaines. Ce rival atteignit son apogée sous Attila, qui pilla une grande partie des empires de l'Est et de l'Ouest avant de marcher sur l'Italie du Nord et de presque mettre Rome à sac. Les sources contemporaines attribuent au pape en place, Léon Ier, le mérite d'être intervenu et d'avoir convaincu Attila de se détourner de lui, bien que la famine et la peste qui sévissaient dans ses armées à mesure que la campagne avançait aient sans doute été des facteurs plus stimulants que la menace d'un châtiment divin.
Après la mort d'Attila en 453, l'empire hunnique se fragmenta, rompant l'équilibre des forces entre la confédération hunnique, Rome et ses quelques alliés germaniques. L'inefficacité des dirigeants, l'effondrement de l'économie et la diminution des effectifs militaires rendirent l'Empire romain d'Occident, moins défendable et plus pauvre, incapable d'empêcher les groupes d'envahisseurs de s'emparer du territoire impérial. Tandis que les Vandales s'emparaient du grenier de l'Empire en Afrique du Nord, des généraux barbares ambitieux faisaient étalage de leur puissance à la cour impériale. Finalement, en 476, un chef germanique du nom d'Odoacer destitua le dernier empereur romain d'Occident, mettant ainsi fin à l'ère de la domination romaine en Occident.
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—section histoire des Romains dans Age of Empires II
Anecdotes[]
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