Revendiquez des terres peuplées et diversifiées et des routes commerciales lucratives tout en parant les invasions étrangères – ou mettez-vous dans la peau de l'envahisseur. Les unités uniques hindoustani sont le Ghulam, une unité d'infanterie lourdement blindée efficace contre les groupes d'archers, et le Chameau Impérial, une puissante amélioration unique du Chameau lourd
Les Hindoustanis sont disponibles pour tous les détenteurs de Age of Empires II: Definitive Edition et posséder l'extension Dynasties of India n'est pas nécessaire pour accéder à cette civilisation, notamment dans le modes de jeu escarmouche et en multijoueur. La campagne de Hindoustanis, Babur, n'est disponible que pour les propriétaires de l'extension.
Les Hindoustanis apparaissent sous le nom de Sultanat de Delhi dans Age of Empires IV.
Les chameaux et des unités de cavalerie légère[note 1] ont +2 d'attaque contre les bâtiments.
Aperçu[]
Les Hindoustanis sont classés comme une civilisation de chameaux et de poudre à canon. Ils ont d'excellents chameaux lourds avec une amélioration unique, une attaque plus rapide, un bonus d'attaque supplémentaire contre les bâtiments standards et toutes les améliorations. Ils ont également accès au hussard qui partage également le bonus d'attaque contre les bâtiments standards. Ils ne disposent d'aucune autre cavalerie, manquant notamment de chevaliers. Leurs archers et archers de cavalerie sont viables stratégiquement et leurs tirailleurs sont entièrement améliorables. Ils disposent d'excellents canonniers à main, bénéficiant de toutes les améliorations possibles et d'une portée supplémentaire de +2 grâce à la technologie Shatagni, combinés à une armure supplémentaire, ce qui en fait l'une des unités les plus importantes des armées hindoustani. Leurs unités de caserne sont ternes, manquant d'améliorations. Le Ghulam est une excellente unité d'infanterie, remplissant des rôles très similaires à ceux du guerrier aigle, car il s'agit d'une unité d'infanterie mobile avec une bonne armure de perçage avec l'avantage supplémentaire de pouvoir lancer ses attaques à travers plusieurs cibles. Les armes de siège sont bonnes, même s'il manque les améliorations de l'âge impérial, leurs canons à bombarde et leurs éléphants de siège sont entièrement améliorables. Leurs navires de guerres sont leur plus gros point faible, en grande partie à cause de l'absence d'améliorations et de technologies de l'âge impérial, hormis le galion et le galion à canon.
Leurs défenses sont faibles, mais leur économie est excellente avec des villageois moins chers, des revenus d'or plus rapides et une taxe d'échange réduite sur le marché grâce à Grand Trunk Road. À l'âge impérial, ils peuvent construire des caravansérails, un bâtiment économique qu'ils partagent avec les Perses, qui soigne et accélère les charrettes de commerce alliés à proximité, améliorant ainsi leurs revenus en or.
Liste des changements[]
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Représentation dans les campagnes[]
Les Hindoustanis sont la civilisation du joueur dans la campagne de Babur. Ils apparaissent également dans :
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Noms des joueurs IA[]
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Histoire[]
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À l'aube de la période médiévale, les régions septentrionales de l'Inde actuelle étaient principalement gouvernées par l'empire Gupta. À son apogée, sous le règne de Chandragupta II Vikramaditya, cet État éphémère s'étendait du fleuve Indus au delta du Gange. Alors qu'il était exceptionnellement avancé pour son époque d'un point de vue économique, politique, militaire, intellectuel et social, l'empire Gupta était trop vaste et vulnérable aux invasions extérieures. Les incursions nomades du nord-ouest posaient un problème constant, tout comme les conditions climatiques extrêmes de la région ; les inondations, en particulier, représentaient un problème majeur. Cet État ne survécut pas au VIe siècle de notre ère, mais laissa une empreinte significative sur les régimes politiques qui lui succédèrent.
À la chute de l'empire Gupta, ses possessions tombèrent sous le joug de nombreuses entités tant majeures que mineures. Celles-ci ne parvinrent jamais à atteindre la puissance des Gupta, mais elles héritèrent de leurs points forts et de leurs avancées, dont un système sophistiqué de répartition du travail, d'importantes découvertes scientifiques, des réseaux de commerce florissants et une puissante technologie militaire, entre autres. Les épopées sanskrites relatent l'histoire d'un souverain puissant et magnanime du VIIe siècle, Harsha Vardhana, qui forgea certains de ces régimes en un pseudo-empire, mais son État non plus ne prospéra pas longtemps.
Les deux siècles qui suivirent virent l'émergence d'une nouvelle menace sous la forme de vagues d'invasions musulmanes qui déferlèrent successivement sur le sous-continent indien. Si, au départ, des magnats indiens comme Bappa Rawal (VIIIe siècle) parvinrent à endiguer le flot des envahisseurs, cette menace prit de plus en plus d'ampleur pour permettre aux États indiens, déjà fragmentés, de résister durablement. Au-delà de l'Hindu Kush, de puissantes dynasties musulmanes turco-persanes s'élevaient : les Ghaznévides avaient formé un État formidable dans l'Afghanistan, le Pakistan et l'Iran contemporains. Un souverain particulièrement infâme, Mahmoud de Ghaznî (Xe et XIe siècles), mena dix-sept campagnes distinctes pour piller la majeure partie de l'Inde du Nord et de l'Ouest. Les Ghorides qui succédèrent aux Ghaznévides furent une autre dynastie puissante qui renversa les Ghaznévides et poursuivit son avancée en Inde aux XIIe et XIIIe siècles. Ces deux factions se distinguaient par le fait qu'elles employaient beaucoup de ghulams, d'anciens esclaves formés comme soldats professionnels, créant ainsi une élite de guerriers qui dominait à la fois les champs de bataille et les palais.
Les invasions ghorides constituèrent un tournant décisif en raison de leur impact permanent. Alors que leurs prédécesseurs n'avaient mené que des campagnes de pillage et de destruction, les Ghorides, dirigés par les frères Ghiyath et Muhammad, triomphèrent de Prithviraj Chauhan d'Ajmer et établirent un contrôle permanent sur une bonne partie de l'Inde du Nord. Leur successeur, Qutb al-Din Aibak, créa une nouvelle superpuissance : le sultanat de Delhi (XIIIe-XVIe siècles), qui consistait essentiellement en une élite de guerriers musulmans à la tête d'une population majoritairement indienne sur le plan culturel et social. Comme nombre de conquérants historiques, les sultans de Delhi estimèrent qu'il était bien plus prudent de perpétuer les systèmes existants dans leur nouvel empire que de tenter de les démolir pour imposer les leurs.
Les siècles suivants furent tumultueux. Le sultanat de Delhi et ses voisins subirent les affres des invasions mongoles successives qui, sans apporter de gains significatifs durables, dévastèrent les infrastructures de la région. En 1398, l'invasion de Timur/Tamerlan fut particulièrement brutale. Elle traversa le nord de l'Inde et transforma la glorieuse ville de Delhi en un charnier. Plus d'un siècle plus tard, Babur, le conquérant moghol (un autre seigneur de guerre perse originaire d'Asie centrale), fera remarquer dans son autobiographie intitulée Baburnama que la terre qu'il observait n'était pas encore remise des ravages des siècles passés. Toutefois, Babur parvint à transformer les régimes fragilisés de l'Inde du Nord qu'il avait conquis en un État puissant, l'Empire moghol, qui domina la région de 1526 jusqu'au début de l'ère moderne.
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—section histoire des Hindoustanis dans Age of Empires II
Anecdotes[]
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