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| “ | Le sultanat de Roum, autrefois craint, est en déclin. L’Anatolie se fragmente et s’affaiblit rapidement. Osman le Briseur d’os, un bey déterminé, veut unir de nouveau le peuple turc et former un empire assez puissant pour défier les byzantins. | ” |
| —Description du scénario dans la Definitive Edition | ||
Bapheus est un scénario de la campagne Batailles des Oubliés de Age of Empires II HD: The Forgotten. Il relate la bataille éponyme.
Introduction[]
Tandis que les Mongols descendaient vers le Proche-Orient, le sultanat turc de Roum est clairement sur le déclin. De nombreux chefs turcs d'Anatolie, appelés beys, s'apprêtent à s'emparer des terres du sultan. Leurs guerriers sont féroces, bien loin des mondanités de la cour de Roum. Une fois qu'ils se seront emparés du sultanat, rien ne les empêchera de s'étendre sur les terres byzantines à l'ouest.
Le plus féroce des beys turcs est Osman, "le briseur d'os", un homme respectable qui prétend que Dieu lui-même lui a donné l'autorité pour régner sur le monde. Il est déterminé à unir les Turcs contre leurs ennemis communs.
Face à Osman se dresse le sauveur proclamé de l'Empire byzantin : Roger de Flor, ancien templier et commandant de la Compagnie catalane, un groupe de mercenaires. Ses années de combat au service de seigneurs et de princes d'Europe ont fait de lui et de ses soldats des vétérans aguerris.
L'issue de la bataille entre ces deux grands hommes décidera de l'avenir de l'Europe et du Moyen-Orient.
Tel le soleil se levant à l'est, les hordes de Mongolie émergèrent des steppes orientales. Leur empire s'étendait alors jusqu'en Anatolie, là où les réfugiés des empires déchus de Turquie orientale commençaient à occuper les terres byzantines. Même le grand Empire seldjouk avait disparu et les seuls royaumes d'Anatolie encore aux mains des Turcs étaient le Sultanat de Roum ainsi que d'autres États mineurs. C'est à ce moment-là qu'Osman, jeune membre d'une tribu turque, prit conscience de l'opportunité qui s'offrait à lui.
De nombreuses puissances voisines avaient disparu ou étaient occupées à se battre contre les Mongols pendant que l'Empire byzantin s'effondrait lentement à l'ouest. Il sut alors qu'il allait devoir frapper tant que le fer était chaud. Fils d'un Bey turc, il s'était rendu avec sa famille sur ces nouvelles terres fertiles, en ancien territoire romain. Une fois adulte, il prit la place de son père et devint lui aussi Bey. Sa puissance physique ne connaissait pas d'égal, et c'est pour cela qu'il reçut son surnom de briseur d'os.
Mais Osman possédait plus que sa simple force. Bientôt, il offrit ses services au Sultan de Roum et commença à rêver d'un empire qui serait sien. Ses succès en tant que commandant parvinrent rapidement jusqu'aux oreilles des Perses, des Arabes et des Turcs. Ceux-ci fuyaient tous l'assaut mené par les Mongols à l'est, et ils tinrent absolument à passer sous le commandement d'Osman. Mais son chemin était encore long, car il devait partir de zéro dans un territoire entouré de rivaux et de tribus hostiles.
Et c'est sans parler des Byzantins, qui s'appuyaient désormais sur le soutien de leur confrères chrétiens de l'ouest. Il existait des rumeurs qui parlaient d'un ancien templier à la tête d'une armée espagnole en marche pour venir en aide au vieil Empire byzantin, mais de simples rumeurs n'inquiétaient guère Osman, car il savait que les plans qu'il avait soigneusement échafaudés ne pouvaient échouer. Il allait être à l'origine de quelque chose qui déterminerait le cours de l'histoire pour les siècles à venir...Instructions du scénario[]
Conditions de départ[]
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Objectifs[]
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Conseils[]
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Éclaireurs[]
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Joueurs[]
Joueur[]
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Alliés[]
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Ennemis[]
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Stratégie[]
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Conclusion[]
Roger de Flor tint tête à Osman. Il réussit à vaincre les armées turques à de nombreuses reprises et parvint presque à les chasser d'Anatolie.
Mais alors que de Flor était à l'aube de sa plus grande victoire, il fut trahi. Jaloux, les nobles byzantins, craignant que de Flor garde les terres reconquises pour lui, commanditèrent son assassinat. Pour se venger, sa Compagnie[sic] catalane ravagea l'Anatolie byzantine et la Grèce avant de rapatrier le corps de son commandant bien-aimé.
Sans de Flor, Osman pouvait poursuivre ses conquêtes et affirmer sa puissance. Les autres beys turcs reconnurent bientôt sa suprématie, et il fonda son propre empire qui porterait son nom : Osmanli Devleti... l'Empire ottoman.
Avec les premiers succès d'Osman vinrent les premiers guerriers Ghazi de l'est[sic]. Et après des années d'expansion victorieuse, sa petite troupe de guerriers devint rapidement une puissante armée. De riches cités que les Byzantins possédaient depuis pratiquement un millénaire tombèrent aux mains des Turcs d'Osman. Le seul homme à se tenir en travers de leur chemin était Roger de Flor, ancien templier puis par la suite condottière, et son armée catalane.
Il était un commandant de génie et le seul véritable rival d'Osman. Il parvint plusieurs fois à vaincre les armées turques et réussit presque à les bouter hors de l'Anatolie. Mais au moment même où sa victoire allait être totale, d'anciens jeux politiques et querelles byzantines l'emportèrent sur sa bravoure. Roger de Flor fut sournoisement assassiné par le même empire pour lequel il s'était battu si vaillamment. Lorsque sa loyale compagnie catalane apprit la nouvelle, elle dévasta les terres byzantines puis ses hommes finirent par rentrer chez eux en emportant le corps de leur commandant.
Osman avait toujours respecté son grand rival qu'il considérait comme son égal, mais la mort de Roger élargit encore ses ambitions. Bientôt, ses hommes conquirent les terres autour de Sogut. Juste avant sa mort, Osman porta son regard vers l'ouest de l'autre côté du Bosphore, allant même jusqu'à planifier la conquête de l'Europe pour ses successeurs. Osman mourut un[sic] homme comblé, car il avait crée[sic] son propre empire: l'Empire ottoman.